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Paroles monstres

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Joseph Rouzel

dimanche 21 décembre 2008

Paroles monstres 1

Lecture de ma lettre ouverte au Président de la République francaise. 2

Pourquoi cette lettre? D'abord pour protester. Enfermer des enfants de 12 ans, c'est ne rien vouloir entendre des « paroles monstres » qu'ils profèrent. Paroles monstres au sens où certains jeunes produisent une monstration dans des mises en scène, de ce qu'ils ne peuvent pas dire avec des mots. ça demande un minimum d'écoute et de traduction, pas un enfermement. La réponse doit se constituer en sanction au sens premier du terme. D'une racine indo-europénne, « sak », qui signifie : sacré. La sanction doit revêtir un double aspect: marquer un point d'arrêt dans des actes inacceptable sur le plan social, c'est le versant de la justice; prendre en compte ce qui pour un sujet est venu produire ces actes, et proposer des espaces de transformation pour que «ça crée », c'est le versant socio-éducatif.

A stigmatiser les adolescents dans leurs productions dites « violentes », contre autrui ou contre eux-mêmes, on oublie un peu vite qu’il s’agit là avant tout de tentatives, dramatiques, tragiques, inquiétantes, hors norme, agressives, hors sens… de s’exprimer. Nous avons à tenir compte, praticiens de l’intervention sociale ou thérapeutes, de cette tentative singulière. Une telle hypothèse ouvre la clinique avec les adolescents vers l'accueil de ces « paroles monstres », de ces « mots gelés » comme le dit si bien François Rabelais dans le Quart Livre . Paroles sans mots, paroles d’avant les mots, histoires sans paroles... Paroles écrites à l'encre sympathique (pas toujours) qu'il s'agit de réchauffer, pour les rendre lisibles, à la chaleur de la relation humaine. Dans ces mises en acte les adolescents cherchent leur voie. Aux interlocuteurs que nous sommes, dans le travail social ou thérapeutique, de se proposer comme lieux d’adresse de cette tentative, pour qu’ils puissent explorer des chemins fréquentables et supportables pour eux-mêmes et leur environnement. Bref comme tout un chacun, les adolescents cherchent à qui parler, encore faut-il leur prêter l’oreille !

Si, comme je l’écrivais il y a quelques années, l’adolescence n’existe pas 3 , ça fait quand même causer ! Partons pour amorcer les choses, d'un exemple.

Je cite de mémoire des bribes qui flottent dans mon souvenir d’articles du Monde consultés à l’époque et qui avaient retenu mon attention. Il y a quelques années dans une petite ville du Colorado, aux USA, à Littleton, bourgade sise près de Denver, un groupe de jeunes gens sont arrivés le matin dans leur collège, armés jusqu’aux dents : fusils, armes de points et grenades. C’était l’heure de la rentrée et plusieurs de leurs camarades étaient présents dans la cour. Ils ont mitraillé dans le tas, tuant une dizaine de jeunes et en blessant plusieurs. En commettant leur acte il riaient. Leur acte accompli, ils se donnèrent la mort. Dans les jours qui suivent, comme on dit dans les médias, l’Amérique est sous le choc. Devant cette énigme effroyable : qu’est-ce qui leur a pris ? on convoque les experts. Le Président de l’Association Internationale de Psychiatrie déclare, sans se fouler, que dans un pays où les armes à feu sont en vente libre, ce n’est pas étonnant. Clinton lui emboîte le pas. On tient des discours sur l’acte, on échafaude, on tente de rassurer… Qu’est-ce qui fait drôle, raconté comme ça ? Mais à aucun moment on ne s’est intéressé de savoir ce que vivaient ces jeunes. On part d’un savoir décalé, déjanté, prêt-à-penser, au lieu de partir des dires des sujets qui ont produit ces actes. Parce que pendant plus d’un an, ces jeunes se sont fatigués à mettre en scène au grand jour ce qui les habitait. Mais pas plus qu’après leur mort, nul ne les a entendu. Jusqu’au bout on leur a confisqué leur responsabilité, à savoir qu’ils puissent répondre de ce qu’ils font.

Depuis un an ils accumulaient chez eux un armement digne des meilleurs gangsters. Ils se présentaient au collège vêtus de « French coats » noirs, manteaux imités des uniformes de la Gestapo. Leurs ongles étaient peints en noir. Ils entraient au collège en grommelant des phases en allemand et en faisant ostensiblement le salut nazi. Aucun adulte n’a jamais fait aucune remarque. On est dans un pays où la liberté d’expression est sacrée. Et comme ils n’étaient pas entendus, ces jeunes qui se réclamaient de la culture « Gothique », ont créé deux sites Internet. Sur ces sites on trouve des phrases comme « il y a trop de pression, ça ne peut plus durer, il faut que ça explose … C’est trop dur de vivre ainsi… » et ils désignent comme objet de leur vindicte, les sportifs de tous poils et les minorités ethniques, blacks et chicanos. Le montage est logique et effroyablement cohérent : il s’agit de faire baisser la pression dans leurs corps par le meurtre. Celui-ci sera opéré le jour de l’anniversaire de la naissance d’Hitler. Paroles monstres qui aboutissent à des actes moinstrueux de ne trouver aucune adresse.

Voilà donc mon entrée en matière. Qu’est-ce que se vit dans un corps d’adolescent qui peut mener au pire, si ce n'est pas pris au sérieux? J’ai sous le coude pour tenter une explication, un concept, construit et transmis par Freud, « la pulsion », que je développerai plus loin.

Une phrase de Denis Jeffrey, dans le n° 47 de Cultures et Sociétés , à la fin de son article « Malaise dans la sexualité », je la cite « Les jeunes doivent être éduqués aux jeux de séduction, aux jeux sexuels, au jeux, en somme, qui permettent à deux jeunes personnes de se sentir à l’aise sur le terrain, si tapageur, de la sexualité », m’a mis la puce à l’oreille. Je m’inscris en faux. Et s’il y avait, comme l’annonce Freud, dans la culture, dont la sexualité n’est qu’une de formes, un malaise irréductible ? Je poserai cette affirmation pour ma part, pour tenter de mettre des mots sur ce qu’on nomme adolescence et qui n’existe pas. Sans doute faut-il partir de l'événement de corps que l'on nomme puberté, qui existe bel et bien. Chaque culture en a produit des modes de traitement nombreux et (a)variés, avec au bout du compte cette évidence : on ne sait pas vraiment y faire. L’adolescence est un passage, plus ou moins difficile, il faut donc attendre que ça passe. Banalité de base. Mais qu’est-ce qui s’y passe ? C’est une autre paire de manches que d’enfourcher la question ?

Voilà le socle d’axiome sur lequel j’avance. Chaque adolescent est confronté à une évidence brutale qui constitue le fond de commerce de la sexualité : il n’y a pas dans le monde chaussure à son pied. A partir de là, comment va-t-il traiter cette rencontre, ce coup en vache que lui fait la déesse Tuchè , dite Fortuna chez les romains. Bonne ou mauvaise fortune, la rencontre de l’autre dans la sexualité se fait à l’enseigne d’un traumatisme fondamental : ça ne marche pas et c’est pas fait pour s’arranger. L’adolescent se coltine d’emblée à ce fait qu’énonce brutalement Lacan : « il n’y a pas de rapport sexuel ». ça ne veut pas dire qu’on ne baise pas, mais qu’on a beau, dit trivialement, s’emmancher les uns dans les autres, ça ne fait pas rapport, pratiquement au sens mathématique du terme. Par exemple dans a/b=1. Dans le rapport sexuel, le signe d'égalité ne joue pas. D’où une tentative incessante, tout à fait repérable chez les sujets jeunes qui y sont confrontés, de développer des stratégies d’évitement ou de colmatage. Et ce avec ces moyens du bord que l’on peut nommer culture, dans le meilleur des cas. Mais chez certains ce choc en retour prend des formes plus dérangeantes: drogue, passages à l'acte, embrigadement extrémistes. Paroles monstres.

L’affaire de Littleton a été reprise dans le film de Mikaël Moore, Bowling for Columbine. Je regrette qu’il passe un peu vite sur la question des ados eux-mêmes, pour embrayer sur une dénonciation très intéressante sur les ventes d’armes, mais ça laisse en plan notre sujet.

Dont je reprends mon hypothèse. Ce que font les ados, voire ce qu’ils ne font pas, est gouverné en sous-main par du sens. Du sens qui reste à advenir, dans l'après-coup. Lequel ? Admettons que cela soit admis, ce qui ne va pas sans mal. La plupart du temps les actes, et surtout ceux désignés comme « passages/pas sages », des ados, sont plutôt généralement inscrits à l’enseigne de l’insensé, ce sont des paroles qui se donnent à voir, qui se montrent et pas à entendre, d'où leur qualificatifs de « monstres ». Insensé, ce qu’on ne comprend pas, ce qui nous surprend. Insensés, ces agents du désordre. Pour entrer dans la question, je vois deux voies d’accès. L’une clinique : demander aux intéressés de construire le sens de ce qu’ils font, même si, et il faut le prendre en compte, celui-ci leur échappe à priori. Il s'agit de les inviter à inventer des fictions, fictions, pour reprendre une expression de Freud, qui ont valeur de vérité. L’autre coule de conséquence, elle est métapsychologique : il s’agit de rendre compte de ces dires dans un langage plus large, celui de la psychanalyse. Du singulier à l’universel : telle se fait l’ouverture. « Le singulier, c’est l’universel » J’ai lu ça une fois dans un pub de Dublin estampillé en grandes lettres sur la façade, et signé : James Joyce. La Guinness en prend tout à coup un autre goût ! Il n’y a que les irlandais pour produire de la pensée là où d’autres la cachent ou la taguent.

En ce qui concerne les jeunes de Littleton ils avaient donné à lire le sens de leurs actes : la pression est trop forte, disaient-ils, il faut que ça cesse. Et ils désignaient deux cibles pour l’évacuation de cette pression : les sportifs ( !) et les minorités ethniques (blacks et chicanos). Pourquoi ? On ne sait pas bien. Mais il y va d’une certaine logique. Voilà pour l’aspect clinique.

En termes de métapsychologie, je pense que le concept de pulsion élaboré par Freud en 1905 permet de rendre compte de cette logique, même si elle paraît infernale. Pulsion, donc. Ce mot que Freud va chercher dans la langue, « trieb », comprend bien l’idée d’une force, voire même d’une force motrice, un force qui met en branle. Mon petit dictionnaire m’indique même que c’est un mot employé en parlant d’une pousse, d’un rejeton en botanique. Bref, la pulsion, ça pousse, au cul ou ailleurs. Nous souffrons malheureusement des velléités de traduction de la brave Princesse Bonaparte qui croyant bien faire, a fait passer le « trieb » de Freud en « instinct ». Les traductions récentes rétablissent la vérité, mais le mal était fait d’où une certaine confusion : on voit encore se trimbaler des « instincts de mort, de vie » et autres dérivés…

Il faudrait pour être clair réserver l’instinct aux animaux : c’est ce qui leur permet d’entretenir leur organisme en vie et de se reproduire à partir d’une relation immédiate à leur environnement. La pulsion naît justement de cet empêchement à l’immédiateté. Le continu des éprouvés corporels doit passer au discontinu de la parole et du langage pour se frayer un chemin dans la communauté des parlants. C'est une obligation. C'est le prix à payer pour se socialiser. Les ados sont souvent dans cet entre-deux mondes entre l'éprouvé et les lois du langage. D'où l'aspect jugé parfois monstrueux de leurs modes d'expression. Par exemple dans le film L'Esquive au début les jeunes parlent avec de la bouillie dans la bouche: le cinéaste donne une version sous titrée pour les comprendre. L’appareillage de l’organisme humain au langage, « l’apparolage », lui donne un corps, certes, mais un corps dénaturé, qui l’aliène, dans son rapport au monde, aux autres et à lui-même du fait de cette médiation particulière qu’est le langage. « Je est un autre » comme l'écrit magnifiquement Rimbaud. Un corps qui parle. Ce corps qui parle est alimenté par la puissance motrice de la pulsion née de cet appareillage. C’est le point limite, nous dit Freud, en 1905, dans ses Trois essais sur la théorie de la sexualité , entre le somatique et le psychique. La pulsion résulte, précise-t-il, des exigences de la culture, de la civilisation, dans les apprentissages , notamment du langage, imposées à l’organisme.

J’ai représenté la pulsion dans un schéma, inspiré d’une remarque métaphorique de Françoise Dolto : la pulsion, c’est comme une source de montagne. Je te renvoie à ce schéma que tu dois connaître. Une source de montagne, force jaillissante, n’a qu’un seul but : rejoindre le plus vite possible, par le chemin le plus court, un point d’apaisement où s’anéantit sa puissance de jaillissement. Ce point est désigné dans notre langue comme « niveau zéro ou niveau de la mer » Depuis qu’il y des gens sur terre ils se sont bien rendu compte de cette énergie libre. Ils ont donc inventé un appareil pour la détourner à leur profit : le barrage. Le barrage détourne la force de la source pour la socialiser. A partir de turbines l’énergie naturelle est transformée en énergie motrice ou électrique. Mais tout de cette énergie ne peut être utilisée. Il y donc de temps à autre des débordements régulateurs : le trop plein est évacué. Si l’on calque cette métaphore sur la pulsion on en obtient tous les éléments. Un seul but : rejoindre le plus vite possible le niveau de la « mère » (seul objet du désir, mais frappé de l'interdit de l'inceste), homéostasie dit Freud, en empruntant le concept à Fechner. La source, ce sont ces lieux singuliers du corps, faits de trous : bouche, anus, yeux, oreilles, sexe, zones érogènes, dira Freud. Ce sont par ces trous que jaillit la pulsion. N’oublions pas cependant que la pulsion, appareillée au langage, est constituée de représentations, d’où la fabrique d’un corps qui parle. Ça complique les choses. Ça inclut qu’on parle, mange, écoute, voit, baise etc avec des mots. La force de la pulsion, sa poussée, ( Drang ) est constante. Autrement dit la pulsion, ça pulse, ça pulse, ça pulse, on ne peut pas l’arrêter, sauf un jour, où n’en sentant plus le dérangement en nous, nous ne serons plus de ce monde. Le quatrième terme pour cerner la pulsion - je me réfère là à un article de la Métapsychologie de Freud « Pulsions et destins des pulsions » , le terme de destins est assez problématique, Lacan proposait avatar, on pourrait dire devenir – le quatrième terme donc est celui d’objet, que la langue allemande, pour le peu que j’en sais, permet de fendre en deux : Das Ding et Die Sache . Das Ding , la chose, le seul Objet qui, s’il existait permettrait de jouir, d’où sa corrélation à la mère ; et Die Sache , les objets du monde, objets de substitution à cet objet ( Das Ding) qui… n’existe pas. Est-ce bien clair tout ça ? Je fais ce long détour pour en arriver aux ados de Littelton. L’écoulement le plus performant de la pulsion qui est un détournement de sa force brute, Freud le nomme : sublimation. C’est ce qu’on peut faire de mieux avec : travailler, aimer, créer. Mais tout de la force pulsionnelle ne passe pas dans la sublimation, il y a des fuites, des débordements, des exces ce que Freud cerne sous l’appellation de « formations de l’inconscient » : lapsus, oublis, actes manqués, rêves, passages à l’acte, fantasmes, symptômes. Le passage à l’acte fait bien partie de la série. Le passage à l’acte comme apaisement de la pression pulsionnelle. Je crois qu’à partir de ce socle je pourrais tenter d’analyser la position adolescente. Resterait à nuancer, préciser. Et distinguer passage à l'acte qui relève de la brutale décharge de la pulsion de l'acting out, qui est une parole monstre, mais une parole adressée, sans mot, muette, en acte, à un autre. Il faudrait aussi réfléchir à ce que devient la pulsion lorsque l’organisme grandit, qu’il prend de l’âge. Et que devient le sujet qui l’habite ? Qu’elle est sa marge de manœuvre ? Quelles sont ses possibilités de choix ? J’ai à peine esquissé la question difficile de l’objet, que Freud divise, comme il divise le sujet : objet perdu ( Das Ding ), quoique jamais possédé d’un coté ; objet de substitution ( Die Sache , ersatz, dit-il) de l’autre. C’est une des clés, de mon point de vue, pour parler sérieusement de l’adolescence. Qu’en est-il de la relation à cet objet fendu en deux, dont la présence entoure l'absence ?

Reprenons la question des paroles monstres, des paroles adressées sous un forme qui demande un décodage, une transcription. On peut penser qu'il relève du travail des travailleurs sociaux, comme de celui des psys, d'offrir à ces paroles monstres et aux adolescents qui les lancent, des lieux d'adresse où ils peuventnon seulement déposer ces paroles sans mot, qui bien souvent les encombrent, mais dans l'attention bienveillante d'un adulte, s'inviter à les traduire dans ce que Mallarmé nomme « les mots de la tribu ». Mais il n'est pas sûr que des jeunes se rendent aux convocations dans un bureau. « Si tu ne vas pas à Lagardère, Lagardère ira-t-à toi! » Cela exige un déplacement des professionnels du lien social. Dans cette perspective les médiations éducatives prennent tout leur sens: ateliers poterie ou cheval, atelier d'écriture, de rap, de slam etc. Autrement dit ce sont ces espaces dans lesquels un sujet glisse du passage à l'acte à l'acte de passage, pour imprimer dans la chair des mots son être au monde singulier. Bien sûr que les médiations éducatives sont un lieu exigeant, en ce qu'ils n'opèrent qu'à partir d'une perte de jouissance. C'est même à partir de cette perte que les adolescents débouchent sur la socialisation, l'insertion, le vivre ensemble. Accueillir dans de tels espaces le mode d'expression d'un sujet - aussi incompréhensible au départ soit-il -, c'est offrir une adresse à partir de laquelle il va pouvoir opérer au sens propre ce que les travailleurs sociaux nomment: insertion, autrement dit, trouver sa place parmi les autres. D'où le succès actuel ouvert par un slameur comme Grand Corps Malade. Par exemple dans Midi 20 4 voici ce qu'il dit:

«Le corps humain est un royaume où chaque organe veut être le roi

Il y a chez l'homme trois leaders qui essaient d'imposer leur loi

Cette lutte interne permanente est la plus grosse source d'embrouille

Elle oppose depuis toujours, le coeur, la tête et les couilles »

Joseph ROUZEL, psychanalyste, directeur de l'Institut Européen Psychanalyse et Travail Social, Montpellier.

1 Intervention au séminaire « Corps et travail social. Vie, mort et métamorphose » à l'IRTS de Montpellier, le 4 décembre 2008.

2 Voir les ASH du 12 septembre 2008, n°2586: « Ne jetez pas des enfants en prison ».

3 Joseph Rouzel, « L'adolescence, petite histoire d'un signifiant élastique », Lien Social n° 122 et 136 (mai et septembre 1991)

4 Grand Corps Malade, Midi 20 , 1 CD AZ/Universal

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